5000 CFA
Oui! Je t’ai vu, Je t’envie, je te veux, je te vis, j’ai ta langue, je languis, je joue oui ! et je jouis.
| Catégorie | Poésie |
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| Poids | 0,184 kg |
|---|---|
| Dimensions | 20,5 × 12,6 × 0,7 cm |
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Dans ce premier recueil de poèmes, l’auteur laisse libre cours expression de ses sentiments en abordant des thèmes tels que le racisme, l’injustice et l’amour. Il se dévoile comme un humaniste et un fervent amoureux de l’Afrique et révèle un véritable attachement école surréaliste.
Dans ce nouveau recueil, le fécond poète saint-louisien peint avec grâce et générosité la femme. Celle-ci y est déclinée sous les figures de la mère, de la soeur, Fama, à qui le livre est dédié, de l’épouse et de la fille qu’il n’a pas eue. Il y intègre également un vibrant hommage à des femmes à qui il voue une grande admiration, évoquant des sentiments puissants
« L’auteur s’en prend une nouvelle fois à la société et affiche sa volonté de moderniser la poésie. Il critique encore l’amour, en faisant de sa souffrance une source d’inspiration. En définitive, Réminiscences confère à ce jeune poète le statut d’enfant terrible de la poésie contemporaine. » Ablaye Ndong Critique littéraire
Dans ce recueil poétique, l’auteur contemple le jardin de l’Oubangui, non pas avec ses yeux mais avec son âme. Il fait revivre le temps choyé que ce beaux pays de Zo Kwe Zo a vécu époque de la belle lune. Il enjoint son peuple à enterrer tout acte barbare et à se diriger, à pas légers, vers le véritable chemin qui mène à ce jardin où jaillissent la paix et la liberté.« La vraie poésie, c’est la marque d’une balle laissée par la société sur la poitrine d’un innocent…»
« Depuis que le vers est devenu pervers/Je n’écris plus ; la poésie, je la chante/J’enterre les règles dans le cimetière/De mon inspiration que la liberté hante. » Telle est salvatrice la poésie chantée par Elaz Ndongo Thioye dans sa quête Majuscule avant que le peseur d’âmes n’en trie « 21 grammes » sur le volet. Et dans cette approche eschatologique, si la poésie est sacrée, elle est au poète ce que la prière est au fidèle. Ainsi, à plus d’un titre, quoi de mieux dans un syncrétisme d’époque qu’une poésie symbolique empreinte d’une certaine sagesse philosophique, voire mystique ?
Ce recueil comprend des poèmes écrits dans l’optique de constituer un témoignage artistique de la crise militaro-politique en Côte d’Ivoire. Mais l’auteur propose aussi des poèmes drôles et badins, voire sarcastiques. Ainsi ce livre se veut un hymne espérance ; un chant de victoire pour le réveil d’une nation ivoirienne et d’un continent noir réconciliés avec leurs valeurs fondamentales.
Quand la trompette sonnera pour moi / Quand les ténèbres s’établiront autour de moi / Peuples du monde / Pleurez pour moi / Car nous ne nous reverrons plus / Peuple de mon Congo / Pleure pour moi / Car cela sera un adieu avec toi / (…) / Ô peuple de mon Congo ! / Parle-moi de l’Afrique / Pour que je plaide sa cause auprès de Dieu. Tel est le début du poème qui donne son titre à cet ouvrage.
Au cœur d’une nuit anodine, l’esprit mélancolique, brossé par la frustration d’un rendez-vous manqué avec le sommeil, s’envole tel un albatros vers les horizons réhabilités. INSOMNIES plonge et replonge avec volupté dans les douces eaux de l’imaginaire mêlé au vrai. Les toniques envolées lyriques vous livreront avec acuité vos souvenirs dans un accent exotique. Ce recueil est une danse, une belle chorégraphie entre le rêve et les souvenirs du réel devant le regard émerveillé du poète en proie aux insomnies.
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