Recommended Books
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Le voyage de l’aveugle – Poésie
Ce recueil est un voyage entre les mots et entre les diverses expériences initiatiques auxquelles se livre le sujet poétique. Figures féminines envoûtantes, désir d’aventure et quête du langage tracent les contours d’une traversée imprégnée par l’imaginaire de la poésie arabe traditionnelle et par la recherche formelle d’une certaine modernité. Dans cette odyssée, le poète chemine à travers la pluralité des lieux de l’écriture, de Benghazi à Ottawa, en passant par Besançon, pour livrer aux lecteurs un voyage sensoriel où l’amour occupe une place de choix.
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Les revers d’une passion forcenée – Poésie
Ce recueil est une véritable source stimulante. En plus de ses impressions, il nous emporte dans un univers émotionnel et sensoriel, fédérant ainsi essence et quintessence. Dans un contraste de joie et de tristesse, l’auteur nous plonge dans les délices de la poésie. Dans ce cocktail, il nous imbibe d’abord d’« Amour », ensuite nous noie dans le « Rêve » et le « Brisement », et enfin nous fait voguer sur les vagues de la « Restauration ».
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Les saveurs du rouge. Poésie
Ce recueil de poèmes est dans sa généralité, une plaidoirie pour le rouge. Le rouge qui chante l’amour et tend les bras vers les étoiles à travers son poète qui vit depuis l’enfance sur le fil tendu de l’amour et des mots qui le chantent. Le rouge en un torrent de mots qui feraient presque oublier les maux issus de la solitude, de la douleur, de l’abîme.
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Les Stigmates. Poésie
D’un poème à un autre, se dessine incontestablement un itinéraire enchevêtré d’images et d’émotions poignantes, d’où s’élève, sans scrupule, l’horreur née de l’animosité des hommes. C’est l’itinéraire d’une vie héroïque face à l’absence de l’amour véritable des parents, de l’épouse, des enfants, des voisins, des camarades ; rejeté de la société.
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Les veines de l’infini – Poésie
Des fois, il est plus facile ou plus simple de pleurer ou de se taire que d’exprimer ce que l’on ressent profondément : justement, parce que ça peut n’avoir l’air de rien pour les autres. C’est la même impression que cela donne quand on lit un texte aux tonalités d’un message codé. En fait, chaque mot dit quelque chose, tient un discours, raconte une histoire. Chaque personne peut faire sienne la situation d’autrui, ou entendre autre chose dans le discours qui se dit. C’est pourquoi écrire et parler ne sont que des vecteurs. Mais le sens du message dépend souvent de celui qui le reçoit. C’est l’âme même de ce recueil de poésie, Les Veines de L’infini.
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Lettre à al-maktoum – Poèmes
« Voilà des poèmes qui ont la force d’une tempête. Une logorrhée pulsionnelle qui a du mordant, du charisme, de la créativité et qui sonne tellement juste ! Comme un long cri de révolte d’un homme qui a passé son temps à se battre contre les flots de la vie et qui trouve sa seule raison d’être de faire prendre conscience à son prochain. [ ] Une écriture tout en ferveur, en dignité, en pudeur. Un travail subtil sur la mémoire et le visuel donnant une sensation de vertige à la lecture. » Mame Ngoné Faye
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Lettres à mon guide – Poésie
Cet ouvrage est une collection de prières émaillées de panégyriques endroit de Borom Touba. Il relate, dans certains poèmes, les Itinéraires de l’exil, la relation entre le Cheikh et le colon et certains évènements historiques qui ont marqué la longue communion du Cheikh avec les autorités françaises, les rois locaux et ses disciples mourides. L’éloge des exploits et les bienfaits de Serigne Touba constituent le thème principal du recueil.
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Marchand de bonheur. Poésie
Dans ce recueil de poésie parfumé de lyrisme, l’auteure chante l’amour dans ces différentes facettes et tente de dompter les mots pour dénoncer les maux qui, de toute évidence, souillent son environnement social et les sociétés mondialisées.
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Méditations aurorales. Poésie
Des vers sont le chemin suivi par l’auteur pour dire son monde. Ce recueil s’offre comme le compagnon avec lequel il est rassurant de voyager dans ce siècle qui exige plus qu’il n’accorde. Des regards multiples portés sur la vie et sur les humains. Le sens de l’humain y est exalté jusqu’ivresse en raison d’une source qui, depuis Platon et son maître, fonde le dialogue : l’échange consenti entre deux consciences autonomes. Et toujours en compagnie du Verbe, des rythmes, des sonorités et des couleurs coulés dans des canaux atemporels.
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Poèmes qui font rire et pleurer
À la fois manifeste, pamphlet, tribune, fleuve d’espoir et de désenchantement, cri de colère et d’amour, appel à l’amitié mais plus encore interrogations sur le monde. Tout ici s’entrecroise parfois dans la colère contre les dirigeants corrompus, les peuples cupides, les soumis d’Afrique. Mais au-delà, avec un certain rire et dans une langue qui se veut très simple, le jeune auteur s’interpelle lui-même de façon romantique, à travers des textes assoiffés de justice
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Poésie réflexive. Recueil de poèmes
Ce recueil de poèmes intitulé « Poésie Réflexive » a été écrit en 2015, très souvent tard dans la nuit ou tôt le matin. Il est la conséquence de l’entrecroisement des maux de ma société et de quelques vers d’espoir, de solutions et de paix. Face à ces maux, une poésie parfois dure, parfois tendre, parfois vive, parfois véridique, parfois subjective.
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Quand l’âme est à quai – Poésie
« Quand l’âme est à quai est un hymne à la nostalgie créatrice, à la vie dans toutes ses dimensions profanes et religieuses, amour-fusion, à la tendresse qui en découle, à la nature simplement. Ce qui fascine d’emblée c’est la variation du style ou l’absence de style : tantôt le texte est libre, tantôt versifié, comme pour valoriser la liberté de la création par quoi elle se définit et trouve sa plénitude. Plusieurs poèmes caractérisent à suffisance la profondeur du recueil qui navigue entre tristesse, ivresse et tendresse. Je découvre une sensibilité à fleur de peau, une sensualité qui frise la gourmandise ou un appétit de félin à tout le moins. Ce recueil fera date. » Marcel Mendy
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Recueil de poèmes
Cette collection regroupe l’ensemble des textes et œuvres écrits par le président Ahmed Sékou Touré, durant la Première République de Guinée (1958-1984). Le lecteur y trouvera aussi bien des textes sur la politique, la culture, la jeunesse, la technique de la révolution, le combat syndical, le pouvoir populaire, que sur la stratégie, l’analyse, la réalisation de l’action politique du Parti démocratique de Guinée, le Plan quinquennal, l’Afrique en marche, le savoir et le pouvoir, la formation, l’information, la transformation du pays… L’objectif est de mettre à la disposition de tous une partie du patrimoine littéraire et politique de la Guinée. Une œuvre essentielle pour l’histoire de la Guinée.
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Réminiscences. Les roses du mal. Poésie
« L’auteur s’en prend une nouvelle fois à la société et affiche sa volonté de moderniser la poésie. Il critique encore l’amour, en faisant de sa souffrance une source d’inspiration. En définitive, Réminiscences confère à ce jeune poète le statut d’enfant terrible de la poésie contemporaine. » Ablaye Ndong Critique littéraire
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Rendez-vous avec moi-même ou Mots des maux – Recueil de poèmes
Si l’épanouissement des hommes résulte à première vue d’un confort matériel et de l’intégration sociale, la place de l’esprit n’est pas secondaire dans l’accomplissement effectif de l’individu. Ce recueil est l’expression ultime de la résistance intellectuelle. Il se dresse contre l’abandon du culte de l’esprit au détriment de la tyrannie de l’instant et des vagues passagères des penchants sociaux. Il n’y a pas de plus vive volupté que celle de l’esprit. La méditation et la sécrétion des plaisirs livresques fondent le bonheur. Mots des maux, écrit alors que l’auteur était étudiant, traduit sa désillusion face au manque d’empreinte du monde auquel il avait cru.
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Sacerdoce. Poésie
Dans ce premier recueil de poèmes, l’auteur laisse libre cours expression de ses sentiments en abordant des thèmes tels que le racisme, l’injustice et l’amour. Il se dévoile comme un humaniste et un fervent amoureux de l’Afrique et révèle un véritable attachement école surréaliste.
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Sang tricolore – Poésie
« Si tu diffères de moi, loin de me léser, tu m’enrichis. » Cette pensée de Saint Exupéry présentée comme fronton paraît être le fondement même de la production artistique du poète N’KOUNGA Elvis dans ce recueil de poèmes. En effet, dans ce corpus, le poète dénonce avec vigueur le tribalisme, un phénomène social, véritable fléau qui bloque et fait régresser les Congolais dans tous les domaines sociaux. Il a tellement atteint la moelle épinière des citoyens qu’il s’est incrusté dans les consciences pour devenir des comportements, des habitudes, voire une culture de seconde nature légalisée par les autorités. Dans la pratique au quotidien, et sans peut-être que les citoyens en soient conscients, il devient un frein au développement socio-culturel du pays.
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Si j’étais le soleil – Recueil de poèmes
Dans ce recueil de poèmes, l’auteur tente d’apporter sa pierre édifice de construction de sa nation, le Sénégal. Ainsi qu’il le conçoit, la poésie participe éducation des jeunes et des enfants. Grâce à la mélodie et au sens qu’elle véhicule, l’enfant trouve de quoi nourrir son esprit, prélude à une activité de réflexion porteuse d’humanité.
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Silence sous les tropiques – Hommage aux morts, victimes de l’arbitraire au sein du monde
Nos poèmes sont des fleurs de sang écloses pour éclairer nos enfants. Nos poèmes sont les torches de feu volées à nos Aïeux et Aînés pour chauffer nos morts qui meurent de froid sous la terre catin du Congo. Nos poèmes sont des souvenirs que nous venons disséminer dans la conscience de chacun afin que Chloé, Merveille, leur bébé dans le ventre, ainsi que les autres morts tristes de nos matangas, ne soient jamais oubliés. Nos poèmes, enfin, sont des cailloux que nous venons jeter dans le fleuve de ta conscience endormie, afin que tu te réveilles.
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Sous la cendre les étoiles
Avec Sous la cendre les étoiles, Maurice Kamto nous dévoile « l’aube primordiale » d’un très grand chant où se mélangent l’enfance du poète et celle d’une nation. D’un côté, l’insouciance et le geignement de l’enfant bousculé par l’absence brève mais profonde des figures de l’amour. De l ‘autre, la difficile parturition d’un nouveau pays. Alors se déploie un panorama où l’attention du poète se manifeste aussi bien à l’égard des enfants des rues, des femmes, des arbres que pour la geste continentale.
L’espoir soutient chaque vers, chaque syllabe. Ce pourrait être la définition du poème. Léopold Sédar Senghor trouve en Maurice Kamto un digne continuateur de la poésie épique, mais réinventée, transfigurée.