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  • Les Nègres / Pour jouer « Les nègres » – Clownerie

    « Cette pièce, je le répète, écrite par un Blanc, est destinée à un public de Blancs. Mais si, par improbable, elle était jouée un soir devant un public de Noirs, il faudrait qu’à chaque représentation un Blanc fût invité – mâle ou femelle. L’organisateur du Spectacle ira le recevoir solennellement, le fera habiller d’un costume de cérémonie et le conduira à sa place, de préférence au centre de la première rangée des fauteuils d’orchestre. On jouera pour lui. Sur ce Blanc symbolique un projecteur sera dirigé durant tout le spectacle. Et si aucun Blanc n’acceptait cette représentation ? Qu’on distribue au public noir entrée de la salle des masques de Blancs. Et si les noirs refusent les masques qu’on utilise un mannequin. « Jean Genet.

    R123,00
  • Les petites histoires de Ysie – Tome 1

    « Les petites histoires de Ysie » est le premier recueil de nouvelles d’Ysie, artiste ivoirienne. Elle vous fera découvrir des histoires passionnantes et émouvantes qui vous plongeront dans des situations où vous sentirez des émotions fortes. Vous trouverez aussi des cas de conscience qui vous amèneront à réfléchir, à vous conseiller, à vous motiver, à vous surpasser.

    R243,26
  • Les petites histoires de Ysie – Tome 2

    « Les petites histoires de Ysie » est le premier recueil de nouvelles d’Ysie, artiste ivoirienne. Elle vous fera découvrir des histoires passionnantes et émouvantes qui vous plongeront dans des situations où vous sentirez des émotions fortes. Vous trouverez aussi des cas de conscience qui vous amèneront à réfléchir, à vous conseiller, à vous motiver, à vous surpasser.

    R243,26
  • Les profondeurs cachées d’un coeur sans voix

    Ce roman est un véritable plaidoyer contre les harcèlements et les violences dont filles et femmes (élève, étudiante, épouse, femme de ménage, fille, mère, sœur, collègue, secrétaire, etc.) sont le plus souvent victimes dans le silence et l’indifférence de nos cités. Quand on est conscient(e) d’être né(e) d’une femme, on ne peut s’empêcher de le lire et de le proposer autour de soi.

    R254,73
  • Les réveilleurs de soleil

    Depuis que le soleil ne se lève plus, la vie s’éteint à petit feu. Rosie craint pour la santé de son grand-père Edmond, qui pousse des quintes de toux à arracher des séquoias. Du haut de ses treize ans, elle décide de trouver un moyen de ramener le soleil et part sur son vélo Harley à sa recherche. Mais sa bonne volonté ne suffit pas.  Après avoir échoué à convaincre Noé, l’homme le plus riche du monde, de l’aider, elle se lance dans une épopée qui lui fera croiser la route de Crépuscule, un paria au grand cœur, Aube, son ange gardien, Vénus, la femme la plus belle du monde, le fameux Famos, Ilra la magicienne et son mari le Chat Cinno, Momo le pêcheur, un sonneur de cloches et même des éléphants footballeurs.
    Mais qui va réussir à réveiller le soleil ?

    Dans ce premier roman lumineux, Oxmo Puccino s’empare de l’énergie de la jeunesse pour pointer l’urgence écologique, la vanité de la célébrité, le vertige des passions.  Avec humour, poésie et tendresse, il nous offre surtout une histoire d’amour et d’amitié, une quêtitiatique entre Le Petit Prince et Tim Burton.

    Sélection Prix Les Inrockuptibles 2021, catégorie Premiers Romans

    « Tel un botaniste de l’imaginaire, Oxmo Puccino plante les graines de demain dans une langue chantante, aux aspirations écologiques.  » Livres Hebdo

    « C’est comme si Jules Verne avait posé le pied sur une planètconnue – dans la tête d’Oxmo, là où le Soleil ne se couche jamais. » L’Obs

    « Avec Les Réveilleurs de soleil, le rappeur Oxmo Puccino réussit en beauté son entrée sur la scène littéraire, entre onirisme et surréalisme. » L’Express

    « Le premier roman du rappeur, et poète, Oxmo Puccino, déjà publié et approuvé comme tel, est une bonne et belle surprise. » Le Point

    « Entre le petit Prince et Tim Burton » La Grande librairie

    « Un roman formidable à découvrir d’urgence ! » Francter, La bande originale

    R460,50
  • Les Soleils des indépendances

    Quel sera le sort de Fama, authentique prince malinké, aux temps de l’indépendance et du parti unique ? L’ancien et le nouveau s’affrontent en un duel tout à la fois tragique et dérisoire tandis que passe l’histoire, avec son cortège de joies et de souffrances.

    Au-delà de la fable politique, Ahmadou Kourouma restitue comme nul autre toute la profondeur de la vie africaine, mêlant le quotidien et le mythe dans une langue réinventée au plus près de la condition humaine. Dès sa parution en 1970, ce livre s’est imposé comme un des grands classiques de la littéraure africaine.

    R164,59
  • Les soliloques d’une mamie de Poto-Poto. Roman

    La vieille Ngala, mamie de 77 ans, rentrée du Congo-Kinshasa où elle s’était réfugiée avec sa famille, forcée de fuir Brazzaville pendant la guerre civile de 1997, fut contrainte d’enterrer là-bas son frère Posso décédé pendant cet exil. À Brazzaville, elle vit dans une intranquillité maladive qui la rend volubile à l’excès ; d’où ses soliloques qui évoquent des petites histoires personnelles et qui de ce fait même déroulent tout un pan de l’Histoire du Congo.

    R302,92
  • Les sylvestres aventures de l’enfant-soldat. Roman

    L’histoire, adaptée de faits réels et fréquents en Afrique, se passe dans la jungle d’une immense forêt équatoriale, dans un pays, la République démocratique du Congo, qui vit une série de guerres depuis plus de vingt ans, occasionnant plus de huit millions de morts dont la presse occidentale ne parle quasiment pas. Le héros, c’est Bahati, un garçon de 15 ans. Il vient d’échapper aux groupes armés qui, deux ans plus tôt, l’ont enlevé, après avoir brûlé son village et massacré les habitants. Ils ont fait de lui un enfant soldat, jeté dans la guerre et séquestré très loin de sa région natale. Il n’a qu’un désir : y retourner. Mais il lui faut pour cela affronter la jungle et ses dangers. Casimir, un vieux chasseur qui en connaît tous les secrets, l’accompagne dans ce périlleux périple.

    R302,92
  • Les trafiqueurs

    Abidjan. Côte-d’Ivoire. « Que les choses soient claires, nous ne sommes pas des honnêtes gens, nous sommes des trafiqueurs, autrement dit des gens qui magouillent salement pour de l’argent… Nous assumons…Nous fournissons donc visas et passeports surtout. Temps de misère, époque de merde, les candidats exil sont légion. Ils fuient. Par tous les moyens. Ils sont prêts à payer. On nous propose aujourd’hui plus d’argent que nous ne pouvons en recevoir. C’est hallucinant ! »Avec en toile de fond le spectacle d’Abidjan sombrant dans une déglingue généralisée, Lucio Mad fait renaître, pour son premier roman, une littérature hilarante et férocement révolutionnaire qu’on croyait presque disparue.

    R301,39
  • LES TRAVAUX D’ARIANE – Et 15 autres nouvelles

    La plupart des finalistes publiés dans ce recueil sont des écrivains chevronnés, instar de Caya Makhélé (Congo), Grand prix de ces inédits 94 avec « Les travaux d’Ariane » et qui a déjà fait paraître plusieurs ouvrages : contes, pièces de théâtre ou romans.

    R171,20
  • Les travestis du désert – Roman

    Les travestis du désert est un roman qui raconte le combat de Lalia, jeune malienne. L’héroïne opérant dans le secteur humanitaire fait la connaissance d’un Libyen rencontré à Kidal. Elle tombe amoureuse de l’homme. Mais elle ignore qu’il est un trafiquant d’êtres humains. Il la séquestre dans un endroit perdu au sud de la Libye. Battante et déterminée, Lalia s’évade grâce à la complicité d’un prisonnier avec qui elle fera route jusqu’à la frontière entre le Mali et le Niger. De la Libye au Niger et du Niger au Mali, l’héroïne de ce roman bravera tous les obstacles : le banditisme, les trafiquants d’êtres humains, le terrorisme. Ce roman, plein de suspens et de rebondissements, nous transporte au cœur du désert avec ses mystères, son austérité mais aussi ses charmes.

    R472,50
  • Les veines de l’infini – Poésie

    Des fois, il est plus facile ou plus simple de pleurer ou de se taire que d’exprimer ce que l’on ressent profondément : justement, parce que ça peut n’avoir l’air de rien pour les autres. C’est la même impression que cela donne quand on lit un texte aux tonalités d’un message codé. En fait, chaque mot dit quelque chose, tient un discours, raconte une histoire. Chaque personne peut faire sienne la situation d’autrui, ou entendre autre chose dans le discours qui se dit. C’est pourquoi écrire et parler ne sont que des vecteurs. Mais le sens du message dépend souvent de celui qui le reçoit. C’est l’âme même de ce recueil de poésie, Les Veines de L’infini.

    R302,92
  • Lisibilité de la liberté dans le théâtre de Zadi Zaourou

    Cet ouvrage décrypte minutieusement comment, à la lumière de l’esthétique du Didiga, Zadi Zaourou produit un théâtre de dénonciation axé sur les praxis sociales liberticides des dirigeants politiques. Dans une Afrique qui ploie sous les effets nocifs des différentes mutations internes qui secouent les fondements de sa structure, Zadi crée un art vivant qui n’épargne personne. Les œuvres analysées révèlent bien l’hybridisme culturel de Zadi Zaourou dramaturge, poète et musicien. Les techniques d’intégration des différents arts de la scène et de la musique, pour produire un théâtre syncrétique où l’arc musical et la parole produisent un symbolisme crypté, sont dévoilées par l’auteure avec ingéniosité.

    R945,48
  • MA : cette syllabe universelle évoque la douceur de la maternité, un hymne à la femme et à la féminité…  est bien cela : un cantique qui célèbre le bonheur et la douleur d’être mère sur ce continent tissé de mystères qu’est l’Afrique. L’enlèvement de son premier enfant, offert aux religieuses par son mari, plonge Sabeth dans une nuit profonde qui ranime les souvenirs de sa prime enfance à Obala, où déjà elle avait subi les mortifications dues à sa condition de femme. Après un mariage traditionnel avec un polygame, les humiliations redoublent : troisième femme de son mari, Sabeth tente en vain de se faire une place dans sa nouvelle famille qui la réduit en esclavage. Lorsqu’elle rencontre Mâ, sa marraine, féticheuse de son état, elle espère, grâce à son aide, pouvoir ramener à elle son premier-né, Douo. Commence alors un long parcours initiatique qui mènera Sabeth de sorcier en sorcier, jusqu’à ce qu’elle rencontre Emmanuel, avec lequel elle renaîtra dans le feu de la passion. La célébration d’un monde fascinant, empreint de magie et de sensualité diffuse, ainsi que la ferveur du style, parviendront seuls à dénouer ce destin. Avec ce deuxième livre, Gaston-Paul Effa confirme ses dons de prosateur lyrique et incantatoire.

    R432,35
  • Maman a un amant

    « On m’appelle Loukoum et j’ai maintenant douze ans. Depuis Le Petit Prince de Belleville, beaucoup de choses ont changé : j’ai une nouvelle maîtresse, je parle beaucoup mieux le français, je suis plus que jamais amoureux de Lolita, mais la vie n’est pas tous les jours facile. Surtout quand Maman décide de prendre un amant, un Blanc par-dessus le marché, et qu’elle .se met à vouloir apprendre à lire et à écrire. La liberté des femmes, c’est de la mauvaise graine. Elle pousse n’importe où, même entre leurs cuisses. C’est mon papa qui le dit. Et quand tout Belleville a appris la nouvelle, il n’a pas été le seul à le penser. Les Nègres en sont restés la langue dehors, les yeux sortis de la tête… Mais je vais tout vous raconter. ».

    R362,59
  • Maman, qui allume le soleil ? Roman

    Ce roman suit un jeune garçon, fils de braves paysans de la tribu Ntoumou du Sud Cameroun, qui réussit, avec une éducation rigoureuse, un caractère courageux, et un peu de chance à accéder à la haute société. L’ouvrage est d’un réalisme saisissant avec son langage alternant entre enfant et érudit.

    R472,74
  • Mamba Point Blues

    Rentrée littéraire 2021

    Des tranchées d’Argonne à Monrovia en passant par Dakar, New York et Paris, une fresque romanesque puissante qui court d’une guerre mondiale autre, rythmée par les accents vibrants du jazz.

    1918. Percussionniste virtuose école des djembés de Gorée, Jules, interprète du régiment de Noirs américains sur le front de cette France ravagée qu’il ne connaît qu’à travers Maupassant, vit aube de l’armistice un amour éphémère avec l’épouse d’une  » gueule cassée « . Ce souvenir indélébile l’accompagnera après la guerre dans son long périple à travers l’Amérique bouillonnante des Années folles, quand il rejoint le jazz-band de ses anciens compagnons de guerre, en tournée dans le Sud raciste, puis triomphe au célèbre Cotton Club de New York.

    Sa vie croise celle de Joséphine Baker qui l’emmène, avec sa Revue nègre, à Paris où l’amitié qu’il scelle avec l’écrivain-espion Graham Greene les entraîne dans une périlleuse expédition en Afrique. Ils iront jusqu’à Monrovia, capitale du Liberia, sur les traces de Julius Washington, l’arrière-grand-père de Jules, premier grand reporter photographe noir américain. Alors que de nouveau une guerre s’annonce, Jules s’installe à Mamba Point, dans la maison de Julius, l’homme qui a tenté de révéler la véritable histoire de ce pays : celle de ces esclaves affranchis envoyés en Afrique pour bâtir une nation libre. Un rêve devenu cauchemar.

    R509,46
  • Marchands de mort subite

    Pierre Marlot observe une colonie d’avocettes en baie de Somme lorsqu’il reçoit un appel du consul de France en Ouganda. On n’a plus de nouvelles de sa fille Anne, journaliste prometteuse et farouchement indépendante, depuis qu’elle est partie dans l’Est de la République démocratique du Congo pour les besoins d’un reportage. En arrivant à Kampala, Pierre comprend qu’il ne faut rien attendre des services consulaires. Il se lance dans une quête solitaire sur les traces de sa fille. C’est ainsi qu’il rencontre Juliet Ochola, une journaliste travaillant pour un grand quotidien ougandais. Juliet décide de reprendre le travail d’Anne. Dans un pays où les journalistes subissent menaces de mort et arrestations arbitraires, elle s’engage dans une enquête à haut risque, alors même qu’un insurrection étudiante met la capitale à feu et à sang.
    Dans ce premier roman, passionnante enquête sur les minerais du sang qui tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page, Max Izambard nous transporte au cœur d’une Afrique des Grands Lacs affamée de justice. Dans un labyrinthe de questions et de faux-semblants, ses magnifiques personnages luttent pour faire émerger des vérités dérangeantes face à un pouvoir aux abois.

    R533,17
  • METAMORTPHASE

    {Métamortphase} est né en prison. Cinquante-cinq poèmes parmi quelques centaines composés au cours de huit années d’emprisonnement dont deux d’isolement complet. Poésie engagée ? Sans nul doute. Pourtant il faudrait se garder de n’y voir que le témoignage rimé d’un face-à-face avec l’horreur. Breyten Breytenbach est un poète à part entière. Il est un des grands poètes d’aujourd’hui. Son combat pour une Afrique du Sud démocratique n’est pas dissociable de ses obsessions créatrices : la mort, la métamorphose, la transformation, la vie toujours recommencée. Virtuose de la métaphore, jongleur des rythmes et des couleurs, il manie aussi bien l’humour que le cri, la tendresse que le désespoir. Lyrique et visionnaire, pessimiste et naïf, il s’inscrit dans la grande tradition du poème métaphysique.

    R246,01
  • Mon Père, Mon Choix

    Envie de lire…

    La littérature et les arts se sont souvent articulés autour de la figure maternelle, les thèmes de bravoure, de la généreuse et de l’endurance. Au père, n’est que conservée l’image de l’irresponsable, du mâle fouettard et de l’individu égoïste. Cette histoire en casse la logique. La figure tutélaire du père se révèle certes ici, mais c’est plutôt son amour unique et généreux qui se construit à travers un duo de tous les instants avec le fils orphelin de mère à la naissance.

    Contre une aventure facile et heureuse, le père a choisi de rester avec le fils. Contre une liaison prometteuse et fructueuse, il a préféré son garçon. Surtout quand la relation impose l’éloignement du rejeton. Mon père, mon choix est un chant unique d’amour qui célèbre autant que l’amour maternel, le sacrifice du père vis-à-vis de son enfant, quel qu’il soit.

    R38,25