Afficher 221–240 of 293 résultats

  • Mon rêve du père

    Mon rêve du père : voilà un rêve audacieux et nécessaire pour le jeune Maradona Pelé qui en explore les visages dans des chapitres qui sont autant de variations sur sa complexité, sa beauté et son urgence. Car il faut avoir le courage du rêve – un rêve qui court sur tout le récit comme une ample prière pour retrouver un père qui s’est éloigné hélas de son enfant et à la recherche duquel il faut partir. Mais la mort de la mère rend les retrouvailles aussi impossibles qu’elles sont désirées. Diverses éventualités sont alors évoquées : des retrouvailles dans un coin de rue, des retrouvailles dans un stade de football, des retrouvailles dans la mort… Maradona Pelé réussira-t-il à retrouver son père ?

    11100 CFA
  • MONI MAMBOU

    Il s’en est fallu de peu que Moni-Mambou ne devienne esclave après son séjour mouvementé à Akrikritomékry. Grâce à Zimoli, sa compagne, et Nzila, son fils, il en a réchappé. Après bien des péripéties, Moni-Mambou et les siens débarquent à Mbanza-Kimpa, une cité où se passent des choses étranges. En s’y intéressant de trop près, Moni-Mambou s’attirera de sérieux ennuis.

    5500 CFA
  • Morsure (La)

    La morsure est un roman africain. Un moment délicat où un enlèvement d’un occidental provoque la fuite éperdue d’une femme. Le moment de la découverte d’une autre vie, d’une sagesse provoquée par cette morsure. Réelle ou fantasmée, cette morsure devient déchirement. Entre amour et haine, entre le réel ou le bien. Sur fond d’islamisme radical, un grand roman.

    12675 CFA
  • Mr. Loverman

    À soixante-quatorze ans, Barrington Jedidiah Walker est plus que jamais le séducteur que Carmel a connu à Antigua, avant d’émigrer à Londres avec lui. Dandy, noceur, artiste de la conversation, ce gentleman des Caraïbes est un autodidacte. Il cite William Shakespeare et James Baldwin et partage ses idées – nombreuses – sur la politique, l’art et ses racines familiales. Carmel et Barry sont mariés depuis un demi-siècle et Barry est toujours très épris de son amour de jeunesse. Mais ce n’est pas Carmel. Le corps musclé de Morris Courtney de la Roux rend Barry fou depuis soixante ans. Son âme sœur devine sa moindre pensée, sa bouche termine ses phrases. Toute sa vie, Morris a supplié Barry de venir vivre avec lui, en vain. Pourquoi ? Crainte de ne pas avoir la force d’affronter les conséquences sociales d’un coming out si tardif ? Respect pour une épouse pieuse qui le croit coureur de jupons ?
    aube de sa vie, Barry sent que s’apprête à passer sa dernière chance d’être enfin heureux..

    18250 CFA
  • N’time M’voumvou. Le cœur de M’voumvou – Roman

    Ce roman retrace le vécu au quotidien et la qualité de vie que menaient les citoyens de M’voumvou entre la période des indépendances et l’avènement de la démocratie au Congo-Brazzaville. Farouchement attachés à leurs idéaux, les enfants de M’voumvou savent prendre position à tort ou à raison, ce qui fait d’ailleurs leur mérite et aussi leur malheur.

    8725 CFA
  • Nban « je refuse » – Ansou Massing, une épopée de Brassou

    Dr Koutoudio nous invite dans cet ouvrage à découvrir une figure bien connue dans le Brassou-Pakao, et même bien au-delà : Ansou Massing (Ansoumana Mané). Les griots, à partir des actes qu’il a posés, et par un art consommé, ont fait de lui la cristallisation des principales valeurs de sa communauté. Alors, même si l’accompagnement musical, la magie du verbe articulé, les rites et autres usages qui président à la déclamation de nos récits épiques ne peuvent pas être sauvegardés, Dr Koutoudio a pensé utile de fixer par l’écriture au moins l’ossature du récit qui fait d’Ansou l’une des figures héroïques les plus célèbres du Brassou.

    15050 CFA
  • Niaman la morsure maléfique du félin – Un récit de l’époque coloniale

    Dans l’espace des traditions culturelles mandingues et de l’Occident, la période coloniale fut un carrefour culturel. L’auteur contemple les personnes, les paroles et les réalités propres à cette époque, et raconte le parcours d’un jeune homme, Moro, élevé à la fois dans la tradition culturelle de la Haute-Guinée, école occidentale française et dans l’infanterie coloniale d’alors. De retour dans son pays natal après sa retraite de l’armée, Moro renoue avec ses sources culturelles et son entourage. À travers ce récit, l’auteur jette la lumière sur des aspects essentiels de la culture mandingue et ouvre une porte sur les fondements et le sens d’une civilisation africaine.

    18650 CFA
  • Nighthawk blues

    Il est né au début du siècle dans une plantation de coton près de Yola (Mississippi). Son nom est Theodore Roosevelt Jefferson, mais il est plus connu sous celui de «The Screaming Nighthawk». C’est une légende du blues… mais il n’a jamais existé. Construit comme un thriller, Nighthawk Blues est un portrait du blues en forme d’enquête. C’est aussi un parfait roman noir, car qu’y a-t-il de plus noir que le blues et ceux qui le vivent ?

    12120 CFA
  • Nimi A Lukeni. Le roi forgeron de Kôngo

    Nimi A Lukeni
    Le roi forgeron de Kôngo
    Auteur : Bruce Mateso

    Le royaume Kongo est un des royaumes africains les plus célèbres et les plus décrits depuis le XVIème siècle. Pourtant son fondateur, Nimi a Lukeni (connu aussi sous le titre de Ntinu Mwene) reste une figure teintée de mystère, partagée entre le mythe et l’Histoire. Les Kongo l’ont tantôt décrit « comme un artisan habile et capable de forger le fer », tantôt comme « un cadet ayant hâte de commander » ou encore comme un « habile chasseur ».
    Quels sont les détails de son ascension vers le pouvoir ? Quels obstacles a-t-il surmontés pour fonder Kongo dia Ntotila ? L’épopée de Nimi a Lukeni est indissociable de la culture Kôngo, dont il en est le héros et une des figures tutélaires originelles.
    A travers XV chapitres, Bruce Mateso montre comment, de fil en aiguille, Nimi a Lukeni posa les jalons du kintotila kya Kongo, qui attisera plus tard la convoitise des Européens
    Tout au long de ce parcours initiatique où les nkulu (les ancêtres), les simbi (génies gouvernant les forces naturelles) accompagnent les destinées humaines, Nimi a Lukeni forgea aussi bien son destin personnel que celui de tout un peuple. D’enfant indocile à roi, il défia l’ordre établi afin d’en créer un nouveau, la première modernité socio-politique kôngo.

    15445 CFA
  • Nos morts sont toujours vivants… – Ad vitam aeternam

    L’auteur, dans ce recueil en hommage à des personnes disparues et lui étant jadis chères, ne parle de la mort qu’à demi-mot, et ses poèmes sont des chants de célébration de la Vie, car les défunts sont vivants, vivants dans les souvenirs et dans les cœurs. Emmanuel Ngom est arrivé à sublimer ses émotions et ses souvenirs, en tenant des propos imagés d’une grande lucidité et d’une grande justesse.

    14250 CFA
  • Nulle part où poser sa tête

    Le sourire de Jean s’ouvrait grand comme les bras d’un ami chaleureux, c’était une belle maison à la porte ouverte qui vous invitait à entrer et vous enjoignait de rester longtemps. C’était le printemps après un long hiver…À la naissance, en voyant ses grandes mains, Papa avait dit :  » Peut-être qu’il sera gardien de but, plus tard. » À quoi Mami avait répliqué : « Ou peut-être simplement qu’il saura s’accrocher. Il en aura besoin. » Et effectivement, le petit Jean va en avoir besoin. Réfugié du Congo avec ses parents, il va devoir affronter très tôt une vie difficile à Londres. Alors qu’à Kinshasa son père allait devenir médecin et sa mère institutrice, ils sont désormais l’un vigile le jour et homme de ménage le soir, assistante de cantine scolaire pour l’autre. Dans le très petit appartement, on héberge aussi occasion d’autres réfugiés congolais – solidarité oblige – même si l’argent manque toujours. Et Jean s’accroche : il faut à tout prix réussir école. Heureusement, il y a aussi les copains et les parties de foot… Mais au-dessus de cette turbulente et si attachante tribu, où personne n’a de papiers en règle, plane la menace de l’expulsion – décrétée comme le dit amèrement « Papa », « par des gens que nous ne connaissons pas et qui ne nous connaissent pas… »

    19100 CFA
  • Obsession Cachée: Aimer dans l’Ombre

    « Ma première rencontre avec lui s’est faite à travers ses films. J’en ai regardé plusieurs, mais celui qui m’a le plus bouleversée, est celui dans lequel il jouait le rôle d’un jeune homme condamné pour une faute qu’il n’avait pas commise. Et quand j’ai vu menotté et emmené par la police, j’ai versé des larmes… » Salewa Smart est un fan des films et des romans d’Abdel Hakim Amzat. Alors que les filles de son âge ont différents pôles d’intérêt, elle, n’a d’yeux et de respiration que pour son idole pour laquelle elle nourrit, secrètement une passion insensée. Un jour que, par hasard, elle entre en contact avec lui, commence pour elle une idylle imaginaire dont son journal intime s’efforce d’en raconter les détails. Ce roman est le fruit de cette expérience originale. Voilà, pour la première fois écrite en Afrique francophone, l’histoire réelle entre un artiste et son groupie. Emouvante, elle explore avec délicatesse les impensés et les non-dits de ce type de relation que le regard extérieur condamné si vite, mais que la réalité rend toujours plus complexe.

    1250 CFA
  • Ombres & lumières

    La période n’était pas pourtant favorable, car, partout dans le pays, l’enseignant semblait être un homme traqué, frappé d’ostracisme, victime d’une sourde hostilité de la part d’une frange importante de la population. En effet, si ce n’était pas les tracasseries des inspecteurs qui étaient devenus les artisans de la désaffection du métier au niveau des maîtres qu’ils tyrannisaient, c’était les autorités administratives, dont la promotion semblait être liée au degré de maltraitance qu’elles pouvaient leur infliger. Elles s’illustraient par des abus, des pratiques anormales qui ternissaient l’image du métier d’enseignant…

    17820 CFA
  • On ne peint pas de larmes sur le visage de celui qui meurt – Roman

    Wolfgang a soixante-douze ans et des problèmes de mémoire. Pour ne pas s’oublier, il se met un jour à classer ses photos. Sur l’une d’elles, il tient, enfant, la main d’un cosmonaute : une scène surréaliste qui l’emmène voyager jusqu’au lieu où elle a été prise, pour comprendre si ce sont ses rêves ou sa mémoire qui lui jouent des tours. En chemin, il croise Anouk, vingt ans, qui est partie de Guinée depuis trop longtemps. Elle se défoule sur la vie, à cheval entre le désir et la folie. Lui n’a jamais eu d’enfants, elle refuse toute attache. Lui veut aller sur la lune, elle ne vit que dans les désillusions d’un monde qui souffre. Un récit tendre, drôle, absurde et émouvant. Une mosaïque d’histoires qui s’entrelacent pour brasser les cultures, réfléchir sur les débordements de nos sociétés et la part de poésie qu’on laisse à la vie.

    15050 CFA
  • Oratorio d’un verbivore – Tout juste écrire!

    Voici que l’auteur de La collégienne nous promène en nous présentant une nouvelle facette de son écriture. En effet, le récit de Marouba FALL se développe en trois mouvements dont chacun met en exergue un aspect de la manière dont il joue avec la langue, au gré des situations.

    11880 CFA
  • Parias

    Deux voix se croisent, celles d’un père et de son fils. Le père en prison met toute son énergie à écrire à la femme qu’il a aimé. Il met enfin les mots sur leur histoire. Le fils, loin de ses parents, tente de retrouver le sens de la réalité.

    C’est vrai que j’étais jaloux et que, toi, tu te regardais vivre et ne prêtais pas attention aux tortures que j’endurais. Tu avais déjà trop d’amis, ils te faisaient rire pendant que moi je regardais ailleurs, d’un air renfrogné. Tu savourais déjà, je le sais, les compliments des hommes dans la rue, tu disparais parfois des heures dans la journée, et à mes inquiétudes, à mon visage ravagé, tu répondais : « Et alors, je n’ai pas le droit de sortir? » J’essayais, moi, de te retenir en te dessinant un futur merveilleux.

    Le roman de Beyrouk est une double quête de sens. Le père cherche à remettre des mots sur la vie passée et tente d’expliquer la vérité dans le brouillard des mensonges. Ses nombreuses lettres sont d’une sincérité bouleversante et portées par une passion dévorante. On sent son corps se vider de toute son énergie et peu à peu, le père s’épuise. Ses lettres sont parfois interrompues par la vie quotidienne de la prison, une répétition dont l’ennui et le poids détruisent l’homme progressivement. Les lettres deviennent alors des témoignages, seuls vestiges d’une vie pas vraiment vécue. C’est ce point-là qui est au centre des chapitres consacrés au fils. Lui aussi à la première personne nous raconte son quotidien dont il n’arrive pas à capter la stabilité. Il semble lui aussi en plein mensonge. L’absence de ses parents lui pèse car il est incapable de mettre des mots sur sa vie et les personnes qui l’entourent. Il veut vivre mais part de rien. Bien que les rythmes des deux voix ne soient pas similaires, les thèmes de l’amour et de l’élan de vie sont au cœur des préoccupations des deux hommes. La voix du père porte plus, notamment grâce à la passion qu’il exprime et à sa manière de saisir toutes les nuances du temps. Il revient sur le passé et égraine tous les faux pas. Le père a voulu être parfait dans le rôle de l’amoureux et de l’amant. Il voulait correspondre aux attentes et pointe tous les codes de sa société. En filigrane, surgit ce rendez-vous manqué avec sa véritable personnalité, sa sincérité. Il ne sait pas qui il a été et a préféré endosser un rôle. Le père veut justement que son fils n’emprunte pas le même chemin. Mais il ne lui en parle pas. Et c’est là le croisement très touchant de ce roman. Le père commence à être à court de mots, comme si le temps lui rappelait que c’était trop tard. Le fils, quant à lui, arrête de fuir pour tenter de trouver les mots, la seule manière d’aborder la vie. La transmission et la rencontrent se font, dans la maladresse, teintées d’une certaine peur et cette fébrilité est particulièrement émouvante.

    14260 CFA
  • Partir. Roman

    En l’an 2050, l’Europe doit faire face à une chute inédite de son taux de natalité, à des populations vieillissantes réclamant des soins permanents, et à une absence de main d’œuvre pour prendre soin du troisième et du quatrième âge et faire tourner les usines et les fermes en vue de maintenir le niveau de richesse des États et assurer l’avenir. Un vaste projet d’immigration est alors conçu par les pays en proie à ce phénomène. Les migrants, dont chacun a une bonne raison de partir, sont répartis en groupes de cent personnes qui doivent apprendre à se connaitre.

    12675 CFA
  • Patapa ou les loufoqueries d’un roi maudit – Roman

    Ce roman conte l’histoire d’un monarque putschiste très cruel, PATAPA. En effet le prince héritier du royaume d’Atotiajia, aimé de tous, mourût avant son père. A la mort du roi, un individu vulgaire, à la suite d’un putsch, priva les descendants du prince Gbôkou du pouvoir au grand dam du peuple. Mais l’indigne et effroyable personnage cumula idiotie sur idiotie, iniquité sur iniquité et mourut ridicule et reclus dans son propre palais. Ainsi PATAPA demeura dans le monde Akan le symbole de la bêtise, de la brutalité et de la cruauté.

    9900 CFA
  • Pierre Abandonnée suivie de Immergence

    Dans ce pièce théâtre <<Pierre abandonnée>>, nous que M. Ebah a eu des relations sexuelles avec son élève, qui d’ailleurs était son enfant, une situation qu’il ignorait. A travers la lecture de ce livre, vous découvrirez les périples encourus par l’élève.

    1250 CFA
  • Pierre Précieuse

    Il est beau et riche, elle est belle et heureuse. Leur avenir est tout tracé. Mais elle ne veut pas ce destin de femme au foyer, parce qu’elle souhaite s’accomplir dans un travail à la mesure de ses ambitions : femme d’affaires, entre deux avions, à l’image de certaines de ses amies. Mais le mari s’y oppose, refuse d’avancer le capital qu’elle lui a demandé. Alors, elle devient insupportable, alterne provocations et chantages. En fait, la pauvre est manipulée par une amie, qui la pousse à adopter cette stratégie du pourrissement pour un mais inavouable. Pierre précieuse est un huis clos sur les fondements du couple et de ses ressorts. Comment gérer le regard des autres sur son ménage ? Quoi privilégier dans leurs jugements ? D’ailleurs, est-il raisonnable de tendre les oreilles à autrui ? Sans donner de leçon,

    1250 CFA