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  • Branle-bas en noir et blanc

    Vous retrouverez ici les inoubliables personnages de Trop de soleil tue l’amour et, plus particulièrement Eddie, l’avocat roublard devenu détective privé ainsi que Georges, l’aventurier français aux motivations obscures.
    Lancés à la poursuite de la sublime Bébète dont la disparition reste compréhensible, nos deux héros affrontent sans frémir malhonnêtes et corrompus, pédophiles et barbouzes, sbires du pouvoir et adeptes de la magie noire.
    Sous la farce et la démesure de cette aventure échevelée, Mongo Beti dresse un portrait lucide d’une Afrique flamboyante et naufragée. Refusant les poncifs néocoloniaux et tiers-mondistes que les peuples d’Afrique traînent derrière eux comme une malédiction, il met en scène un monde exubérant qui chaque jour invente l’art de survivre.

    R521,70
  • Brèches

    Calais est une ville frontière. Entre la France et l’Angleterre. Entre eux et nous. Les huit nouvelles qui composent ce recueil donnent la voix aux espoirs comme aux craintes qui s’élèvent de part et d’autre des barbelés. C’est l’histoire de Sébastien, Calaisien converti à l’islam, qui a décidé de vivre au milieu des réfugiés. De Marjorie, bénévole, qui se fait un devoir de rendre visite au camp jusqu’au jour où sa nièce, amoureuse, fait le pas de trop. De Dlo et Jan qui se cachent dans un camion frigorifique à destination de Douvres, au milieu d’une cargaison d’oranges. De Ghostman, qui franchit l’autre côté du miroir en jouant les passeurs vers l’Angleterre. D’Alghali, qui suit des leçons d’anglais auprès d’un vieux professeur réactionnaire en attendant d’être rejoint par les siens… Avec humour, empathie, intelligence et beaucoup d’humanité, Jungle aborde des questions d’aujourd’hui qu’on ne peut plus se permettre d’ignorer.

    R460,50
  • Bruits de bottes au bord du Nil

    À la faveur de l’assassinat du directeur du projet éthiopien de barrage sur le Nil (GERD), Oumar El Foutiyou BA promène le lecteur en Egypte avec une opération des SR Ethiopiens et Erythréens, alliés au Tigré, une région convoitée par Asmara obsédée par la glorieuse Aksoum. L’enjeu concerne le PulSer, un invention du clergé monothéiste du Pharaon Akhenaton, ancêtre des communautés Pulaar et Sérères du Sénégal, censée dévoiler la falsification de l’histoire de l’Egypte opérée par les prêtres d’Amon avènement de Toutankhamon. À travers un suspense soutenable, ce thriller redonne vie aux thèses du Pr Cheikh Anta Diop, héros du Colloque du Caire, réhabilite les civilisations de Nubie et d’Axoum et évoque les amours du roi Salomon et de la reine de Saba dont le fils, le Négus Ménélik, vole les Tables de la loi de Moïse

    R605,84
  • Brûlure de l’âme – Roman

    Avez-vous déjà entendu ou même imaginé le bruit que fait une âme quand elle se brise ? Ne dit-on pas qu’il faut vivre les choses pour pouvoir les raconter ? Amina, de la façon la plus innocente et pour la première fois de sa vie, fait l’expérience de l’Amour. Son regard et son destin croisent au hasard d’un soir ceux d’Ibrahim. Mais, après un bon moment passé sur un nuage, son âme connait ses premières brûlures. Ibrahim prend ses distances. Comment finira cette histoire ?

    R436,33
  • Cadenas. Roman – Suivi de L’Amitié, comme message central dans la littérature. Essai

    Cet ouvrage rend compte du vivre ensemble, sans slogans ni artifices. Cadenas est le récit principal sur Melchior, Germain et Prince, trois amis qui ont créé une fratrie où ils ont pu apprendre les nombreuses et merveilleuses potentialités dont regorgeaient les sept régions de leur contrée. Dans L’Amitié, comme message central dans la littérature, l’auteur a analysé le rôle des amitiés dans les sphères artistique et littéraire contemporaines. Il a marqué son admiration sur le privilège accordé dans le traitement de l’Amour, au travers de leurs œuvres, durant les siècles, par les auteurs et artistes européens et africains.

    R302,92
  • Calèche d’une demoiselle – Roman

    En voulant faire du lobbying pour sa nomination au poste stratégique de directrice générale adjointe de l’Agence nationale pour l’Emploi (ANE), Debbo Sy, un cadre supérieur du pays de Gaal, était loin de s’imaginer que ses idéaux, sa vie, sa personne allaient s’embourber dans les méandres d’une culture organisationnelle profondément sexiste où la calomnie charpente souvent un plafond de verre, difficile à briser. Pourtant, même à terre, cette « vieille » demoiselle du pays de Gaal fait le choix de relever la tête pour continuer à se battre. Elle nous embarque ainsi, en trois séquences narratives, dans sa vie tumultueuse, combative, grise parfois mais toujours succulente où les violences faites aux femmes fouettent les consciences ; où amour, politique, société, religion… se pensent dans une fraîcheur crue.

    R533,17
  • Canonnades de Crue de Colère

    Selon lui, dans l’échelle des valeurs, seule trône la poésie engagée qui « Commotionne et stigmatise tabous et totems débiles/Et désenveloppe les tsunamis de tristesses traumatiques ». Seule compte pour lui une poésie qui tient l’insincère adulation du pouvoir en horreur. Sa poésie se veut donc directe, incisive et frontale, n’hésitant pas à cibler ce qu’il nomme « L’escadron des charançons et pique-assiettes mafiafricains/Et la confrérie des sangsues avides de mandats à tomes ». Il s’agit d’appeler une hyène, une hyène et un agneau comme tel.
    Les Canonnades de crue colère sont, d’après l’auteur, « une fratrie d’obus contre les abus de la politicanaillerie/Françafricaine et mafiafricaine faussement fossilisée et ressuscitée ».
    C’est, avertit l’auteur dans son avant-propos, un livre d’histoire contemporaine en colère contre ces « Races de coriaces rapaces en chasse » qui « Muent le progrès africain en fugitives lignes d’horizon »…

    R76,50
  • Carine, la prostituée de Pakadjuma – Dans les abysses apocalyptiques de la COVID-19 ROMAN

    Des scènes très courtes pour raconter des faits divers, liés au plus vieux métier du monde: la prostitution. Ici, l’auteure expose des pans croustillants ainsi que des éléments sordides de la vie de Carine, fille de joie (…) Et ces petits détails (…) constituent un repas spirituel savoureux pour le critique littéraire qui (…) boit goulûment cette explosion de figures de discours comme une douce liqueur. » Ramsès Bongolo (Préface).

    R351,42
  • Cave 72

    La Cave 72 est un bar de Brazzaville, refuge idéal pour boire, discuter d’amour et de livres et pour oublier un quotidien gouverné par l’absurde. Verdass, Ferdinand et Didi, trois jeunes, s’y retrouvent chaque soir.
    Mais quand un complot politique qui implique un ancien ministre, un Colonel, plusieurs hommes de main éclate, le Guide providentiel fait d’eux des coupables et de la cave 72 un repaire d’opposants. Ils deviennent des héros malgré eux : face à l’injustice de leurs arrestations,
    le peuple se soulève, brave l’armée et se met à espérer.

    Un premier roman qui mêle enquête et satire, où l’humour et la poésie tiennent une place centrale, porté par un style magnifique qui rappelle le choc littéraire que furent Verre cassé d’Alain Mabanckou et Tram 83 de Fiston Mwanza Mujila.

    « Quatre jeunes Congolais pris malgré eux dans les tourments politiques de leur pays. Un premier et parfait roman de Fann Attiki. » Livres Hebdo

    « Coup de maître. »L’Humanité

    « Une fresque drolatique et caustique du Congo d’aujourd’hui. » Télérama

    « La plume de Fann Attiki est truculente, intelligente, lyrique. Il puise dans la satire avec bonheur. Du grand art. » Le Figaro littéraire

    R460,50
  • Ce dernier vendredi avec toi…

    « J’ai dû arrêter net cette prière-là aussi : ce monde des anges, des prophètes, du Diable, du soleil, de la lle de Imran, cette Vierge qui présente son Fils dans ses bras ; et surtout de ce Dieu qui m’observe ! J’en avais une peur terrible et c’est pour cela que j’ai dû, attirée par la natte qui m’invitait à prolonger ma nuit – et rêver peut-être ? – retrouver ma couche, prolonger mon sommeil avant qu’il ne soit trop tard : un vent violent pouvait s’inviter et m’obliger à participer aux inévitables prières collectives pour que nos tentes ne soient pas emportées, très loin… »

    R412,00
  • Ce qui arrive à pied

    Un jeune homme fuit son passé dans un coin de nature oublié. Un poète est contraint de prendre la route des migrants. Le premier est resté enfermé plusieurs années. Il veut renaître au sommet des Alpes, mais l’altitude le pousse à poursuivre plus loin vers le sud. Le second remonte vers le nord, il vient du désert et rêve d’atteindre la grandeur des montagnes. À travers quelques étapes de leurs parcours inversés, on entreprend un voyage initiatique et fantastique au cour de l’Italie. Un récit qui se risque à imiter la marche, respire l’air vif du dehors et sent la terre. Des traces de poésie, de géologie et une histoire d’amour.

    R533,17
  • Ces orphelins rwandais chéris. Roman

    Le gouvernement de Kigali voudrait que tous les enfants abandonnés ou rendus orphelins par la guerre et le génocide Tutsi soient élevés en famille. Mais certains rapaces les adoptent pour pouvoir toucher des subsides ou comme main d’œuvre bon marché. Cet ouvrage raconte l’histoire d’Édouard Rwagasana, un homme d’affaires de Butare. Non satisfait d’avoir spolié de tous ses biens son orpheline de nièce, il veut étendre sa cupidité en adoptant deux enfants abandonnés à la suite de la fermeture des camps de réfugiés du Congo, pour profiter des aides et renflouer son affaire. Réussira-t-il son coup, devant la vigilance des ONG qui gèrent les aides, le gouvernement qui contrôle les adoptions, et surtout l’amour né entre Émilie et Eugène Muhire, le bel agent de l’un des orphelinats de Kigali ?

    R521,09
  • Chemins d’école – Roman

    « Chemins d’école est un roman qui retrace l’histoire de Néné, une jeune fille détachée de sa famille dès le sevrage pour être confiée à sa marraine. Celle-ci l’élève comme sa propre fille. La marraine et le père adoptif décident pour elle d’une éducation religieuse école arabe ou au daara. Contrairement à leur vœu, la fille veut aller école française comme ses frères et sœurs restés aux côtés de leurs propres parents. Cette école occidentale tant rêvée, lui ouvre finalement ses portes et lui permet une bonne insertion sociale avec de grandes responsabilités dans l’administration. Ce roman au titre très évocateur démontre que l’école entre « quatre murs » n’est pas la seule ou unique voie d’éducation ou de socialisation. Il y a, avant tout, la famille comme première école ; et d’autres modèles alternatifs d’éducation. » (Extrait de la préface de M. Mamadou Talla)

    R523,23
  • Chroniques du Cameroun

    Ces dix courts textes inédits de dix auteurs sont autant de regards croisés sur une même réalité, la société camerounaise d’aujourd’hui. Sous la forme de constructions romanesques où le réel et le rêve se mêlent, ils sont le signe du dynamisme de la langue française en cette Afrique centrale où résonnent, en sus des langues officielles que sont l’anglais et le français, 350 langues nationales. Une occasion de découvrir les plumes émergentes du Cameroun.

    R218,78
  • Clandestins

    « Quelques jours plus tard, Néné m’a appelé ; elle était angoissée : « Ils sont de nouveau venus ce soir et ils ont saccagé toute la maison… Je suis vraiment inquiète pour toi mon fils. Écoute le conseil de ton père : je veux que tu quittes ce pays ! » Malal va connaître la faim, la soif, la peur, et côtoyer la mort à plusieurs reprises. Mais il rencontrera aussi d’autres exilés qui lui confieront leurs histoires, et des personnes prêtes aider comme ce couple d’Algériens qui les recueilleront en plein désert, ou ce chauffeur de bus qui les laissera monter sans papiers d’identité. C’est ce qui fait sans doute la grande originalité de ce récit : ce mélange d’horreur et d’humanité, de cruauté et de solidarité qui nous emporte dans ce beau roman venu d’Afrique.

    R424,09
  • Cœur du Sahel

    Faydé vit dans les montagnes dans l’extrême-nord du Cameroun. Pour que sa mère, ses frères et sa sœur ne soient pas dans le besoin, son beau-père ayant disparu au cours d’une razzia de Boko Haram, la jeune adolescente décide de partir à Maroua, la ville la plus proche, où elle sera domestique. Comme ses comparses, elle devra se faire à sa nouvelle vie, citadine et difficile pour les filles. Mépris de classe, mauvais traitements, viols… Comment Faydé parviendra-t-elle à se frayer son chemin dans un environnement, où son destin semble tracé à l’avance ?
    Djaïli Amadou Amal signe, avec Cœur du Sahel, un nouveau roman sur la condition de la femme dans le Sahel à travers la vie non plus des « Impatientes » mais de leurs domestiques, marquant encore plus son engagement contre les injustices faites aux femmes.

    R460,50
  • Cogite-19 – Recueil de poèmes

    Sous des plumes vivaces dans un monde en quarantaine due à la pandémie de covid-19 qui restera longtemps dans la mémoire collective, ces jeunes poètes regroupés au sein du collectif « Graine de l’espoir » nous plongent dans leur univers esthétique des mots avec un style et un rythme inspirés de ce qui nous environne pour apaiser nos cœurs, panser nos plaies béantes et vivifier l’espoir. Une sincère spiritualité et un profond engagement sont en symphonie pour étayer cet espoir. Extrait de l’avant-propos de Moussa S. Diallo, Enseignant, journaliste et écrivain

    R387,83
  • Contes animaux du pays mafa – Cameroun

    Les Mafa, connus autrefois sous le nom de « Matakam », habitent la partie centrale des monts Mandara, au Cameroun septentrional. Ils ont aménagé les montagnes en terrasses et cultivent le moindre arpent de terre, y semant principalement du sorgho et des arachides.  Leur langue et leur culture sont très vivantes et l’on assiste chez eux à un regain d’intérêt pour les valeurs de la tradition.  Les Mafa considèrent leurs contes comme des récits relatifs à des événements du passé. Il n’y en a donc pas qui soient considérés comme plus véridiques, plus symboliques ou plus pertinents que d’autres. Même les contes à personnages animaux passent pour véridiques. « Cela s’est passé comme ça, car, dans les temps anciens, les animaux parlaient », nous expliquait une conteuse. « Le père l’a raconté à son fils, et celui-ci au sien, jusqu’à nos jours. »
    Godula Kosack est professeur de sociologie à l’université de Leipzig (Allemagne). Entre 1985 et 1994, elle a passé vingt-six mois dans le village de Gouzda, en plein pays mafa, en compagnie de ses enfants. A partir de l’ensemble des contes qu’elle a pu enregistrer au cours des veillées, elle a préparé une monographie sur la société mafa vue par les femmes intuitu.

    Les Mafa, connus autrefois sous le nom de « Matakam », habitent la partie centrale des monts Mandara, au Cameroun septentrional. Ils ont aménagé les montagnes en terrasses et cultivent le moindre arpent de terre, y semant principalement du sorgho et des arachides.

    Leur langue et leur culture sont très vivantes et l’onassiste chez eux à un regain d’intérêt pour les valeurs de la tradition.

    Les Mafa considèrent leurs contes comme des récits relatifs à des événements du passé. Il n’y en a donc pas qui soient considérés comme plus véridiques, plus symboliques ou plus pertinents que d’autres. Même les contes à personnages animaux passent pour véridiques. « Cela s’est passé comme ça, car, dans les temps anciens, les animaux parlaient », nous expliquait une conteuse. « Le père l’a raconté à son fils, et celui-ci au sien, jusqu’à nos jours. »

    R361,06
  • Contes de la forêt et de la savane – Fables d’ici et d’ailleurs

    Le recueil Contes de la forêt et de la savane, fables d’ici et d’ailleurs est constitué de dix contes qui, mêlant sagesse, valeurs et imagination, nous plongent dans les profondeurs et la puissance de l’oralité des cultures africaines. Il souligne aussi l’influence de l’imaginaire et du mythe comme socle commun de l’édification des cultures. À travers un habile mélange entre langue française et langues maternelles africaines, l’auteur fait ressortir la puissance et la délicatesse de la transmission orale. Les aventures mettent en scène l’Homme et ses divers cousins du royaume animal.

    R412,31
  • Contes et chansons du pays toussian (Burkina Faso)

    Un recueil de contes et de chansons sur la condition d’orphelin, qui nous plonge inexorablement dans l’univers linguistique, mental, social, bref l’univers culturel du peuple toussian du Burkina Faso !

    R449,03