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  • Les profondeurs cachées d’un coeur sans voix

    Ce roman est un véritable plaidoyer contre les harcèlements et les violences dont filles et femmes (élève, étudiante, épouse, femme de ménage, fille, mère, sœur, collègue, secrétaire, etc.) sont le plus souvent victimes dans le silence et l’indifférence de nos cités. Quand on est conscient(e) d’être né(e) d’une femme, on ne peut s’empêcher de le lire et de le proposer autour de soi.

    8325 CFA
  • Les soliloques d’une mamie de Poto-Poto. Roman

    La vieille Ngala, mamie de 77 ans, rentrée du Congo-Kinshasa où elle s’était réfugiée avec sa famille, forcée de fuir Brazzaville pendant la guerre civile de 1997, fut contrainte d’enterrer là-bas son frère Posso décédé pendant cet exil. À Brazzaville, elle vit dans une intranquillité maladive qui la rend volubile à l’excès ; d’où ses soliloques qui évoquent des petites histoires personnelles et qui de ce fait même déroulent tout un pan de l’Histoire du Congo.

    9900 CFA
  • Les sylvestres aventures de l’enfant-soldat. Roman

    L’histoire, adaptée de faits réels et fréquents en Afrique, se passe dans la jungle d’une immense forêt équatoriale, dans un pays, la République démocratique du Congo, qui vit une série de guerres depuis plus de vingt ans, occasionnant plus de huit millions de morts dont la presse occidentale ne parle quasiment pas. Le héros, c’est Bahati, un garçon de 15 ans. Il vient d’échapper aux groupes armés qui, deux ans plus tôt, l’ont enlevé, après avoir brûlé son village et massacré les habitants. Ils ont fait de lui un enfant soldat, jeté dans la guerre et séquestré très loin de sa région natale. Il n’a qu’un désir : y retourner. Mais il lui faut pour cela affronter la jungle et ses dangers. Casimir, un vieux chasseur qui en connaît tous les secrets, l’accompagne dans ce périlleux périple.

    9900 CFA
  • Les travestis du désert – Roman

    Les travestis du désert est un roman qui raconte le combat de Lalia, jeune malienne. L’héroïne opérant dans le secteur humanitaire fait la connaissance d’un Libyen rencontré à Kidal. Elle tombe amoureuse de l’homme. Mais elle ignore qu’il est un trafiquant d’êtres humains. Il la séquestre dans un endroit perdu au sud de la Libye. Battante et déterminée, Lalia s’évade grâce à la complicité d’un prisonnier avec qui elle fera route jusqu’à la frontière entre le Mali et le Niger. De la Libye au Niger et du Niger au Mali, l’héroïne de ce roman bravera tous les obstacles : le banditisme, les trafiquants d’êtres humains, le terrorisme. Ce roman, plein de suspens et de rebondissements, nous transporte au cœur du désert avec ses mystères, son austérité mais aussi ses charmes.

    15442 CFA
  • Les veines de l’infini – Poésie

    Des fois, il est plus facile ou plus simple de pleurer ou de se taire que d’exprimer ce que l’on ressent profondément : justement, parce que ça peut n’avoir l’air de rien pour les autres. C’est la même impression que cela donne quand on lit un texte aux tonalités d’un message codé. En fait, chaque mot dit quelque chose, tient un discours, raconte une histoire. Chaque personne peut faire sienne la situation d’autrui, ou entendre autre chose dans le discours qui se dit. C’est pourquoi écrire et parler ne sont que des vecteurs. Mais le sens du message dépend souvent de celui qui le reçoit. C’est l’âme même de ce recueil de poésie, Les Veines de L’infini.

    9900 CFA
  • Lisibilité de la liberté dans le théâtre de Zadi Zaourou

    Cet ouvrage décrypte minutieusement comment, à la lumière de l’esthétique du Didiga, Zadi Zaourou produit un théâtre de dénonciation axé sur les praxis sociales liberticides des dirigeants politiques. Dans une Afrique qui ploie sous les effets nocifs des différentes mutations internes qui secouent les fondements de sa structure, Zadi crée un art vivant qui n’épargne personne. Les œuvres analysées révèlent bien l’hybridisme culturel de Zadi Zaourou dramaturge, poète et musicien. Les techniques d’intégration des différents arts de la scène et de la musique, pour produire un théâtre syncrétique où l’arc musical et la parole produisent un symbolisme crypté, sont dévoilées par l’auteure avec ingéniosité.

    30900 CFA
  • Maman, qui allume le soleil ? Roman

    Ce roman suit un jeune garçon, fils de braves paysans de la tribu Ntoumou du Sud Cameroun, qui réussit, avec une éducation rigoureuse, un caractère courageux, et un peu de chance à accéder à la haute société. L’ouvrage est d’un réalisme saisissant avec son langage alternant entre enfant et érudit.

    15450 CFA
  • Marchands de mort subite

    Pierre Marlot observe une colonie d’avocettes en baie de Somme lorsqu’il reçoit un appel du consul de France en Ouganda. On n’a plus de nouvelles de sa fille Anne, journaliste prometteuse et farouchement indépendante, depuis qu’elle est partie dans l’Est de la République démocratique du Congo pour les besoins d’un reportage. En arrivant à Kampala, Pierre comprend qu’il ne faut rien attendre des services consulaires. Il se lance dans une quête solitaire sur les traces de sa fille. C’est ainsi qu’il rencontre Juliet Ochola, une journaliste travaillant pour un grand quotidien ougandais. Juliet décide de reprendre le travail d’Anne. Dans un pays où les journalistes subissent menaces de mort et arrestations arbitraires, elle s’engage dans une enquête à haut risque, alors même qu’un insurrection étudiante met la capitale à feu et à sang.
    Dans ce premier roman, passionnante enquête sur les minerais du sang qui tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page, Max Izambard nous transporte au cœur d’une Afrique des Grands Lacs affamée de justice. Dans un labyrinthe de questions et de faux-semblants, ses magnifiques personnages luttent pour faire émerger des vérités dérangeantes face à un pouvoir aux abois.

    17425 CFA
  • Mon Père, Mon Choix

    Envie de lire…

    La littérature et les arts se sont souvent articulés autour de la figure maternelle, les thèmes de bravoure, de la généreuse et de l’endurance. Au père, n’est que conservée l’image de l’irresponsable, du mâle fouettard et de l’individu égoïste. Cette histoire en casse la logique. La figure tutélaire du père se révèle certes ici, mais c’est plutôt son amour unique et généreux qui se construit à travers un duo de tous les instants avec le fils orphelin de mère à la naissance.

    Contre une aventure facile et heureuse, le père a choisi de rester avec le fils. Contre une liaison prometteuse et fructueuse, il a préféré son garçon. Surtout quand la relation impose l’éloignement du rejeton. Mon père, mon choix est un chant unique d’amour qui célèbre autant que l’amour maternel, le sacrifice du père vis-à-vis de son enfant, quel qu’il soit.

    1250 CFA
  • Mon rêve du père

    Mon rêve du père : voilà un rêve audacieux et nécessaire pour le jeune Maradona Pelé qui en explore les visages dans des chapitres qui sont autant de variations sur sa complexité, sa beauté et son urgence. Car il faut avoir le courage du rêve – un rêve qui court sur tout le récit comme une ample prière pour retrouver un père qui s’est éloigné hélas de son enfant et à la recherche duquel il faut partir. Mais la mort de la mère rend les retrouvailles aussi impossibles qu’elles sont désirées. Diverses éventualités sont alors évoquées : des retrouvailles dans un coin de rue, des retrouvailles dans un stade de football, des retrouvailles dans la mort… Maradona Pelé réussira-t-il à retrouver son père ?

    11100 CFA
  • Mr. Loverman

    À soixante-quatorze ans, Barrington Jedidiah Walker est plus que jamais le séducteur que Carmel a connu à Antigua, avant d’émigrer à Londres avec lui. Dandy, noceur, artiste de la conversation, ce gentleman des Caraïbes est un autodidacte. Il cite William Shakespeare et James Baldwin et partage ses idées – nombreuses – sur la politique, l’art et ses racines familiales. Carmel et Barry sont mariés depuis un demi-siècle et Barry est toujours très épris de son amour de jeunesse. Mais ce n’est pas Carmel. Le corps musclé de Morris Courtney de la Roux rend Barry fou depuis soixante ans. Son âme sœur devine sa moindre pensée, sa bouche termine ses phrases. Toute sa vie, Morris a supplié Barry de venir vivre avec lui, en vain. Pourquoi ? Crainte de ne pas avoir la force d’affronter les conséquences sociales d’un coming out si tardif ? Respect pour une épouse pieuse qui le croit coureur de jupons ?
    aube de sa vie, Barry sent que s’apprête à passer sa dernière chance d’être enfin heureux..

    18250 CFA
  • N’time M’voumvou. Le cœur de M’voumvou – Roman

    Ce roman retrace le vécu au quotidien et la qualité de vie que menaient les citoyens de M’voumvou entre la période des indépendances et l’avènement de la démocratie au Congo-Brazzaville. Farouchement attachés à leurs idéaux, les enfants de M’voumvou savent prendre position à tort ou à raison, ce qui fait d’ailleurs leur mérite et aussi leur malheur.

    8725 CFA
  • Nban « je refuse » – Ansou Massing, une épopée de Brassou

    Dr Koutoudio nous invite dans cet ouvrage à découvrir une figure bien connue dans le Brassou-Pakao, et même bien au-delà : Ansou Massing (Ansoumana Mané). Les griots, à partir des actes qu’il a posés, et par un art consommé, ont fait de lui la cristallisation des principales valeurs de sa communauté. Alors, même si l’accompagnement musical, la magie du verbe articulé, les rites et autres usages qui président à la déclamation de nos récits épiques ne peuvent pas être sauvegardés, Dr Koutoudio a pensé utile de fixer par l’écriture au moins l’ossature du récit qui fait d’Ansou l’une des figures héroïques les plus célèbres du Brassou.

    15050 CFA
  • Niaman la morsure maléfique du félin – Un récit de l’époque coloniale

    Dans l’espace des traditions culturelles mandingues et de l’Occident, la période coloniale fut un carrefour culturel. L’auteur contemple les personnes, les paroles et les réalités propres à cette époque, et raconte le parcours d’un jeune homme, Moro, élevé à la fois dans la tradition culturelle de la Haute-Guinée, école occidentale française et dans l’infanterie coloniale d’alors. De retour dans son pays natal après sa retraite de l’armée, Moro renoue avec ses sources culturelles et son entourage. À travers ce récit, l’auteur jette la lumière sur des aspects essentiels de la culture mandingue et ouvre une porte sur les fondements et le sens d’une civilisation africaine.

    18650 CFA
  • Nos morts sont toujours vivants… – Ad vitam aeternam

    L’auteur, dans ce recueil en hommage à des personnes disparues et lui étant jadis chères, ne parle de la mort qu’à demi-mot, et ses poèmes sont des chants de célébration de la Vie, car les défunts sont vivants, vivants dans les souvenirs et dans les cœurs. Emmanuel Ngom est arrivé à sublimer ses émotions et ses souvenirs, en tenant des propos imagés d’une grande lucidité et d’une grande justesse.

    14250 CFA
  • Nulle part où poser sa tête

    Le sourire de Jean s’ouvrait grand comme les bras d’un ami chaleureux, c’était une belle maison à la porte ouverte qui vous invitait à entrer et vous enjoignait de rester longtemps. C’était le printemps après un long hiver…À la naissance, en voyant ses grandes mains, Papa avait dit :  » Peut-être qu’il sera gardien de but, plus tard. » À quoi Mami avait répliqué : « Ou peut-être simplement qu’il saura s’accrocher. Il en aura besoin. » Et effectivement, le petit Jean va en avoir besoin. Réfugié du Congo avec ses parents, il va devoir affronter très tôt une vie difficile à Londres. Alors qu’à Kinshasa son père allait devenir médecin et sa mère institutrice, ils sont désormais l’un vigile le jour et homme de ménage le soir, assistante de cantine scolaire pour l’autre. Dans le très petit appartement, on héberge aussi occasion d’autres réfugiés congolais – solidarité oblige – même si l’argent manque toujours. Et Jean s’accroche : il faut à tout prix réussir école. Heureusement, il y a aussi les copains et les parties de foot… Mais au-dessus de cette turbulente et si attachante tribu, où personne n’a de papiers en règle, plane la menace de l’expulsion – décrétée comme le dit amèrement « Papa », « par des gens que nous ne connaissons pas et qui ne nous connaissent pas… »

    19100 CFA
  • Obsession Cachée: Aimer dans l’Ombre

    « Ma première rencontre avec lui s’est faite à travers ses films. J’en ai regardé plusieurs, mais celui qui m’a le plus bouleversée, est celui dans lequel il jouait le rôle d’un jeune homme condamné pour une faute qu’il n’avait pas commise. Et quand j’ai vu menotté et emmené par la police, j’ai versé des larmes… » Salewa Smart est un fan des films et des romans d’Abdel Hakim Amzat. Alors que les filles de son âge ont différents pôles d’intérêt, elle, n’a d’yeux et de respiration que pour son idole pour laquelle elle nourrit, secrètement une passion insensée. Un jour que, par hasard, elle entre en contact avec lui, commence pour elle une idylle imaginaire dont son journal intime s’efforce d’en raconter les détails. Ce roman est le fruit de cette expérience originale. Voilà, pour la première fois écrite en Afrique francophone, l’histoire réelle entre un artiste et son groupie. Emouvante, elle explore avec délicatesse les impensés et les non-dits de ce type de relation que le regard extérieur condamné si vite, mais que la réalité rend toujours plus complexe.

    1250 CFA
  • Ombres & lumières

    La période n’était pas pourtant favorable, car, partout dans le pays, l’enseignant semblait être un homme traqué, frappé d’ostracisme, victime d’une sourde hostilité de la part d’une frange importante de la population. En effet, si ce n’était pas les tracasseries des inspecteurs qui étaient devenus les artisans de la désaffection du métier au niveau des maîtres qu’ils tyrannisaient, c’était les autorités administratives, dont la promotion semblait être liée au degré de maltraitance qu’elles pouvaient leur infliger. Elles s’illustraient par des abus, des pratiques anormales qui ternissaient l’image du métier d’enseignant…

    17820 CFA
  • On ne peint pas de larmes sur le visage de celui qui meurt – Roman

    Wolfgang a soixante-douze ans et des problèmes de mémoire. Pour ne pas s’oublier, il se met un jour à classer ses photos. Sur l’une d’elles, il tient, enfant, la main d’un cosmonaute : une scène surréaliste qui l’emmène voyager jusqu’au lieu où elle a été prise, pour comprendre si ce sont ses rêves ou sa mémoire qui lui jouent des tours. En chemin, il croise Anouk, vingt ans, qui est partie de Guinée depuis trop longtemps. Elle se défoule sur la vie, à cheval entre le désir et la folie. Lui n’a jamais eu d’enfants, elle refuse toute attache. Lui veut aller sur la lune, elle ne vit que dans les désillusions d’un monde qui souffre. Un récit tendre, drôle, absurde et émouvant. Une mosaïque d’histoires qui s’entrelacent pour brasser les cultures, réfléchir sur les débordements de nos sociétés et la part de poésie qu’on laisse à la vie.

    15050 CFA
  • Oratorio d’un verbivore – Tout juste écrire!

    Voici que l’auteur de La collégienne nous promène en nous présentant une nouvelle facette de son écriture. En effet, le récit de Marouba FALL se développe en trois mouvements dont chacun met en exergue un aspect de la manière dont il joue avec la langue, au gré des situations.

    11880 CFA