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  • 14 pas 11′

    Marlène Douty

    Est dramaturge,
    comédien et humoriste togolais.

    Darline Gilles

    Est écrivaine
    d’originaire d’Haïti

    Jean-Paul Tooh-Tooh

    Est dramaturge,
    nouvelliste et poète béninois.

    Alexandre Mondé

    Est dramaturge et
    conteur togolais

    Hurcyle Gnonhoué

    Est dramaturge,
    nouvelliste et chroniqueur littéraire béninois

    4000 CFA
  • La chute de Son Excellentissime – Drame

    Alors que d’anciens collaborateurs conspirent contre le régime jugé sanguinaire, le peuple descend dans la rue pour réclamer la chute de celui qui, depuis des décennies, le tyrannise. Entre raison pratique et péril existentiel, lorsque Son Excellentissime se laisse prendre dans les mailles de ses contradictions et ne ménage pas sa peine pour conserver un pouvoir qui, peu à peu, lui échappe, et que le peuple, galvanisé, l’assiège, cette fiction questionne les volontés populaires sur leurs capacités à agir dans le champ de l’histoire, sans l’inespéré concours des démocraties proclamées. Par-delà l’échec de la république, la nature monstrueuse de l’exercice du pouvoir interroge donc l’humanité de ces gouvernants, dont la peinture des mœurs soulève le voile sur le lien entre barbarie et politique.

    11100 CFA
  • La dignité écorchée – Tragédie

    Cette pièce met en scène «l’écartèlement» de Mangouté. Cocufié par une haute personnalité de la ville, il doit réagir, en bon Bila, de manière à sauver son honneur bafoué. Devrait-il éliminer l’auteur de ses malheurs ? Ici l’auteur pose la problématique du décalage entre la justice dite moderne, inspirée de l’Occident et certains aspects de la tradition africaine.

    7920 CFA
  • La négresse – ou Le pouvoir de la reconnaissance

    Une des premières pièces à mettre en scène des « Nègres » et des « Négresses », mais aussi à braver le préjugé de couleur et à oser une aventure amoureuse en noir et blanc, cette petite comédie mêlée de
    vaudevilles, écrite par Radet et Barré pour les Comédiens Italiens à la veille de la Révolution (1787), a une place étonnante dans le répertoire comique des Lumières au regard de la représentation de l’Afrique et des Africains au théâtre. Non seulement elle inaugure ce que l’on nommera le parler petit-nègre et convoque le personnage du « Nègre » dansant et chantant qui deviendra un cliché humoristique (et raciste) au théâtre, mais elle s’amuse également du barbouillage à travers le valet Frontin qui, pour se faire passer pour un « Nègre », se peint le visage en noir et adopte la dégaine et le costume. Avec cette comédie, Radet et Barré inventent la figure barbouillée du « Joyeux Nègre » sautillant et baragouinant dont les avatars se retrouveront aux Amériques sous les traits du blackface avec notamment le personnage de Jim Crow.

    10700 CFA
  • Le Cercle des menteurs (Contes philosophiques)

    Jean-Claude Carrière décide de mettre les menteurs au service de la vérité, de son amour de la sagesse. Il nous offre ce magnifique orchestre poétique et philosophique des plus beaux contes de tous les temps et de tous les lieux.

    Jean-Claude Carrière a écrit et ordonné ces histoires comme s’il s’agissait d’un nouveau manuel de philosophie. C’est la philosophie par les contes, un manuel où le chemin vers la sagesse serait hasardeux et plaisant, uniquement constitué des meilleures histoires du monde. Au début, les hommes se racontaient les mythes, qui étaient vrais, car ils avaient pour auteur le cosmos. Puis les conteurs sont arrivés et ont inventé les histoires. Ils furent les premiers menteurs, suivis de beaucoup d’autres. Ces contes se rapportent à toutes les questions qui, un jour ou l’autre, nous ont agités. Et ils disent des vérités que seuls les menteurs connaissent.

    16656 CFA
  • Traces – Discours aux Nations africaines

    De retour de ses pérégrinations autour du monde, un homme revient sur sa terre natale, l’Afrique, porteur d’une parole adressée à la jeunesse. En narrant l’histoire du Continent depuis ses origines, il demande à ses habitants de tourner à nouveau leur visage vers le soleil, de reconquérir leur liberté et leur dignité, de continuer à marcher et à élargir les horizons.

    6735 CFA
  • Trop de diables sous leurs jupes

    Nous avons écrit Trop de diables sous leurs jupes à deux : une femme et un homme, un européen et une africaine, une noire et un blanc, de sexe, de culture et de sensibilité différents. Entreprendre une co-écriture à égalité, c’était emprunter un chemin long et difficile. Après coup – et non sans quelques inévitables conflits -, nous sommes devenus incapables, l’une et l’autre, de distinguer les coutures de nos contributions respectives.

    C’est cet échange, nécessairement lent et complexe pour éviter les malentendus, qui permet à chacun de nous de prendre une distance avec ses habitudes de pensée ou de comportement, de créer, couche après couche, une écriture commune, vivante et imagée, parfois émaillée de proverbes ou d’expressions en fon, en mina ou en yorouba pour donner du relief à la langue.

    4000 CFA