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L ‘enseignant veuf relate l’histoire de Azina, un directeur d’école devenu veuf, qui tente par tous les moyens de conquérir le cœur de la belle Mansarké. Mais il n’est pas le seul prétendant…
| Poids | 0,339 kg |
|---|---|
| Dimensions | 21,5 × 13,5 cm |
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La poésie de Wole Soyinka, dont l’oeuvre est imprégnée de la pensée yoruba, sort de l’action et y retourne. Elle saisit dans l’événement la force profonde qui l’a fait naître au monde des énergies cachés et la met au service des hommes. Cycles sombres révèle les jours amers qu’a vécus leur auteur, en découvre le sens et nous invite à en partager la vie.
Nous savons depuis Vladimir Propp que la forme d’un conte demeure plus stable que son message : leçon précieuse pour l’ethnologue. Elle inspire les dix études réunies ici : dégager ce que chaque version d’un conte qu’on trouve à travers l’Afrique entière, souvent aussi dans le folklore d’Europe ou du Proche-Orient, présente de commun avec toutes les autres et à la fois d’unique.
« Ce titre figuratif de la lutte acharnée menée par des élèves sortant de l’INSEPS (Institut Supérieur de l’Éducation Populaire et du Sport) pour exiger leur recrutement dans la fonction publique circonscrit l’action romanesque dans un contexte de combat. C’est en cela que le choix du vocabulaire militaire est annonciateur de la grève de la faim de deux semaines, au terme de laquelle l’espoir des grévistes renaît, après une ferme promesse des autorités quant à la satisfaction de leur mot d’ordre, sous-tendu par le slogan « le décret ou la mort ». » Extrait de la préface du Pr Babou Diène
« Ma mère voulait un bel enfant, vigoureux et sain. Papa la Tige voulait un garçon formidable pour ouvrir le bal de la lignée. Je n’ai assouvi ni le désir de l’un, ni le vœu de l’autre. J’étais une énigme. « Un matin, sur le chemin de l’école, une petite fille interroge son père : « Dis papa, pourquoi tu danses quand tu marches ? » Ce dernier lui raconte alors ce qui est arrivé à sa jambe, à Djibouti, pendant son enfance. De ce pays de lumière et de poussière, Abdourahman Waberi se souvient du désert, de la mer Rouge, de sa solitude immense et des figures qui l’ont marqué à jamais. Il raconte le drame qui a bouleversé son destin et lui a enseigné le prix de la vie, faisant de lui un homme qui danse toujours.
{Métamortphase} est né en prison. Cinquante-cinq poèmes parmi quelques centaines composés au cours de huit années d’emprisonnement dont deux d’isolement complet. Poésie engagée ? Sans nul doute. Pourtant il faudrait se garder de n’y voir que le témoignage rimé d’un face-à-face avec l’horreur. Breyten Breytenbach est un poète à part entière. Il est un des grands poètes d’aujourd’hui. Son combat pour une Afrique du Sud démocratique n’est pas dissociable de ses obsessions créatrices : la mort, la métamorphose, la transformation, la vie toujours recommencée. Virtuose de la métaphore, jongleur des rythmes et des couleurs, il manie aussi bien l’humour que le cri, la tendresse que le désespoir. Lyrique et visionnaire, pessimiste et naïf, il s’inscrit dans la grande tradition du poème métaphysique.
Autour d’Ama (Amoré Mio), Croix et Minarets reflète l’amour et le choc entre musulmans et catholiques, des croisades entre broussards et insulaires dans une patrie tyrannisée d’Afrique, des croisades au cours desquelles l’antéchrist Alkaïda porte sur les épaules un projet de sacrifices d’enfants pour maintenir son Président au pouvoir.
Avec Lady, Badou et Mor, ils sont quatre aventuriers sur la route du désert. De Dakar à Nouadhibou, en foulant Chinguetti, la rose des sables, traversant Tanger, Oujda, Maghnia jusqu’aux enclaves espagnoles, ils croiseront sur leur chemin, d’autres migrants poussés par leurs histoires d’exil.
Issu d’une société profondément marquée par des croyances qui dépersonnalisent la gent féminine, Balakè verra sa mère reniée de la vie sociale à la mort de son père. Ce qui forgera chez le jeune garçon l’esprit de révolte et la soif de justice sociale. Au terme d’un brillant cursus universitaire, Balakè fit face aux péripéties d’un monde marqué par des pratiques subversives anéantissant tout espoir d’épanouissement. Désespéré et désemparé, il décida de quitter son pays. Sur la route de »l’eldorado », les choses ne se passèrent pas comme il les avait imaginées. Tortures, exactions, travaux forcés et kidnappings seront son quotidien jusqu’à son retour au pays.
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