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Rires noirs ? Voulez-vous dire que les Noirs ont le rire noir ? N’est-ce pas creuser le malentendu, en partant d’une mauvaise plaisanterie, à propos de sujets qui mériteraient d’être traités sur un ton plutôt sérieux. Sans doute, mais le lecteur critique qui passe après l’écrivain n’a pas à désamorcer les bombes à retardement qu’il trouve dans ce qu’il lit. Il saute dessus : en lisant, il les fait exploser en éclats de rire. Voici ces éclats dans le roman des romans des Rires noirs du monde noir.
Cette publication, L’Agriculture familiale, une réalité polymorphe, est la première partie des travaux réalisés par une équipe internationale de chercheurs. Le lecteur y trouvera la présentation d’une problématique sur l’exploitation familiale, ainsi qu’une analyse de son mode de fonctionnement dans différentes réalités sociales et économiques. Cette lecture, pensons-nous, lui permettra de se forger une idée plus précise sur l’agriculture familiale et sa diversité.
Le socialisme communautaire coopératif (1960 à 2000), le libéralisme reaganien avec la Nouvelle Politique agricole (NPA) (1980-1994), le Programme d’Ajustement structurel agricole (PASA) d’après dévaluation n’ont pas permis de reconvertir l’économie arachidière coloniale de traite. Ces politiques agricoles reposaient sur une utilisation intensive d’engrais chimiques, accompagnée de culture attelée, déconnectée des capacités techniques et financières des paysans et de leur niveau technique et entrepreneurial. En conséquence, avec 60 % de la population, l’agriculture ne fournit que 20 % du PIB et reste toujours dépendante de la pluviométrie.
Cet ouvrage en trois tomes offre un éclairage unique sur la contribution socio-culturelle et économique de l’Afrique aux Amériques et au reste du monde. Il s’adresse à tous ceux qui s’intéressent Afrique, aux conséquences humaines des migrations de population, et qui veulent comprendre les sociétés plurielles des Amériques et d’Europe, ainsi que leur avenir. Il porte sur la contribution de l’Afrique au patrimoine mondial et sur la nécessité pour tous les peuples d’accepter le principe de l’unicité du genre humain. Au cours de ce périple, l’auteur ébauche de nouveaux axes de réflexion visant à accélérer le développement de l’Afrique. Ce premier tome retrace le passage du peuple noir de la lumière (au moment de l’apogée de ses royaumes et empires antiques) obscurité des cales des bateaux et des geôles des plantations à partir du début du commerce triangulaire.
Cet ouvrage est une synthèse des recherches effectuées sur l’arbre Faidherbia par différents organismes de recherche français et africains, dans les pays soudaniens et sahéliens où cette essence reste irremplaçable.
Directeur du bureau africain du Forum du tiers monde, auteur de nombreux livres d’analyse économique, l’auteur se situe ici sur le terrain du politique et intègre les différents problèmes dans un cadre local et dans leur interaction à l’échelle mondiale.
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