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L ‘enseignant veuf relate l’histoire de Azina, un directeur d’école devenu veuf, qui tente par tous les moyens de conquérir le cœur de la belle Mansarké. Mais il n’est pas le seul prétendant…
| Poids | 0,339 kg |
|---|---|
| Dimensions | 21,5 × 13,5 cm |
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Au pays, il est le mal blanchi. Ici, il est le moricaud. Petit mulâtre aux yeux verts, André est fraîchement débarqué en France. Il y découvre le jazz moderne dont les rythmes réveillent en lui le souvenir des rives du Congo. Malgré ses efforts, il ne parvient pas à honorer la promesse faite à sa mère : approcher le docteur Leclerc, un ancien colon épris de l’Afrique auquel il ressemble étrangement… Romancier congolais né en 1937, Henri Lopes a été Premier ministre dans son pays de 1973 à 1975. Le Grand Prix de la francophonie de l’Académie française lui a été décerné en 1993. « Un français très classique et en même temps profondément africain. »
Ce roman retrace le vécu au quotidien et la qualité de vie que menaient les citoyens de M’voumvou entre la période des indépendances et l’avènement de la démocratie au Congo-Brazzaville. Farouchement attachés à leurs idéaux, les enfants de M’voumvou savent prendre position à tort ou à raison, ce qui fait d’ailleurs leur mérite et aussi leur malheur.
L’amour durable se construit avec le temps. Fatima ne voulait pas de Bangaly comme époux ; elle le haïssait, car elle avait un autre homme dans son cœur : son ami d’enfance, un garçon attentionné. Bangaly aussi aimait une autre femme. Par la fermeté des parents, les deux jeunes se marient contre leur gré. Combien il est difficile de vivre en couple, lorsque de part et d’autre on aime une autre personne. Par la force des épreuves et des contingences, Bangaly et Fatima se retrouvent et se réconcilient. Ils découvrent l’amour et le bonheur conjugal. Les difficultés rencontrées ont constitué pour chacun d’eux de véritables sources de leçons pour la vie.
Avec Lady, Badou et Mor, ils sont quatre aventuriers sur la route du désert. De Dakar à Nouadhibou, en foulant Chinguetti, la rose des sables, traversant Tanger, Oujda, Maghnia jusqu’aux enclaves espagnoles, ils croiseront sur leur chemin, d’autres migrants poussés par leurs histoires d’exil.
Le miracle a eu lieu ! La bouteille à la mer de Badou à Birima, son xarit, en wolof, une des composantes de la mosaïque que constitue son être social, est parvenue à destination. La missive a ému les coeurs sans aménité de ses geôliers qui l’ont rapatrié vers les siens. Birima est de retour…en enfer ! Le désenchantement lui a sauté à la gorge et l’a replongé dans les affres de ce monde, obligé d’être là en attendant que survienne l’anéantissement. Assis sur un des « bancs de désarroi » de la place de Sousse, il refait le monde. En attendant Badou, leurs monologues se répondent et s’enroulent autour de la même lancinantterrogation : Pourquoi les autres s’en sortent-ils et pas nous ?
Hospitalisé en Europe, Mori Kounda trouve refuge dans les tendres souvenirs de sa jeunesse en Afrique. Il ferme les yeux et se remémore le petit Mori explorant le fleuve malgré les préventions affectueuses de sa grand-mère. Animé par un amour profond pour son pays natal, l’adulte malade cultive inlassablement les images et les sons d’autrefois. Mais comment survivre lorsque l’univers serein de l’enfance est assailli par les maux du continent ?
Issu d’une société profondément marquée par des croyances qui dépersonnalisent la gent féminine, Balakè verra sa mère reniée de la vie sociale à la mort de son père. Ce qui forgera chez le jeune garçon l’esprit de révolte et la soif de justice sociale. Au terme d’un brillant cursus universitaire, Balakè fit face aux péripéties d’un monde marqué par des pratiques subversives anéantissant tout espoir d’épanouissement. Désespéré et désemparé, il décida de quitter son pays. Sur la route de »l’eldorado », les choses ne se passèrent pas comme il les avait imaginées. Tortures, exactions, travaux forcés et kidnappings seront son quotidien jusqu’à son retour au pays.
Ce roman relate le combat difficile de travailleurs informels (« les journaliers ») évoluant dans un environnement hostile au service d’une grande compagnie minière qui exploite la mine de fer de Tazadit. Il s’agit de trajectoires individuelles qui se rencontrent à la recherche d’un destin collectif pour engager une confrontation avec des forces bien établies et qui leur sont de loin supérieures. Vont-ils échouer ou bien, au contraire, gagner leur pari ? Il s’agit d’une histoire mauritanienne, voire locale, mais dont les ressorts sont universels.
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