7250 CFA
| Poids | 0,2 kg |
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Un recueil de contes et de chansons sur la condition d’orphelin, qui nous plonge inexorablement dans l’univers linguistique, mental, social, bref l’univers culturel du peuple toussian du Burkina Faso !
Dans ce recueil poétique, l’auteur contemple le jardin de l’Oubangui, non pas avec ses yeux mais avec son âme. Il fait revivre le temps choyé que ce beaux pays de Zo Kwe Zo a vécu époque de la belle lune. Il enjoint son peuple à enterrer tout acte barbare et à se diriger, à pas légers, vers le véritable chemin qui mène à ce jardin où jaillissent la paix et la liberté.« La vraie poésie, c’est la marque d’une balle laissée par la société sur la poitrine d’un innocent…»
« Voilà des poèmes qui ont la force d’une tempête. Une logorrhée pulsionnelle qui a du mordant, du charisme, de la créativité et qui sonne tellement juste ! Comme un long cri de révolte d’un homme qui a passé son temps à se battre contre les flots de la vie et qui trouve sa seule raison d’être de faire prendre conscience à son prochain. [ ] Une écriture tout en ferveur, en dignité, en pudeur. Un travail subtil sur la mémoire et le visuel donnant une sensation de vertige à la lecture. » Mame Ngoné Faye
« Le poème qui a donné son titre à cet ouvrage m’a été inspiré par le pont de l’indépendance construit à Brazzaville, dont l’émerveillement et la sensibilité me vinrent le jour où je passai dessus pour la première fois. J’étais fasciné par sa beauté et son emplacement qui donnaient une belle vue du lit du fleuve Congo… »
De l’homme humain raconte une partie de chacun d’entre nous. Nous nous sommes tous perdus un jour pour retrouver la lumière. C’est ce processus d’humanisation que l’auteur tente de nous rappeler à travers des textes poétiques qui expliquent notre quotidien et notre histoire. De l’homme humain est une réflexion sur sa propre vie, une procession nocturne pour se reconnaître aurore, une quête de soi pour mieux apprécier l’autre. Ce recueil est une sélection de textes avec des thèmes divers et des rythmes variés dont l’inspiration a traversé les années tout en révélant l’état d’esprit de l’auteur et l’évolution de ses idées
Si l’épanouissement des hommes résulte à première vue d’un confort matériel et de l’intégration sociale, la place de l’esprit n’est pas secondaire dans l’accomplissement effectif de l’individu. Ce recueil est l’expression ultime de la résistance intellectuelle. Il se dresse contre l’abandon du culte de l’esprit au détriment de la tyrannie de l’instant et des vagues passagères des penchants sociaux. Il n’y a pas de plus vive volupté que celle de l’esprit. La méditation et la sécrétion des plaisirs livresques fondent le bonheur. Mots des maux, écrit alors que l’auteur était étudiant, traduit sa désillusion face au manque d’empreinte du monde auquel il avait cru.
Moussa KOUYATÉ montre dans Confessions secrètes toute la dimension prophétique que l’on peut assigner au poète. L’auteur y confronte un dualisme : l’amour et la mort. L’amour tel le feu ; et la mort, telle l’eau pour l’éteindre. L’auteur y décrit, avec une précision remarquable ce que sera sa vie d’après. Ce livre, publié à titre posthume par la famille de l’auteur, est l’occasion de rendre hommage à un homme, un philanthrope arraché très tôt à notre affection et qui se trouve désormais dans le ciel, adoubé par la douce musique poétique des cors.
La République de Guinée, véritable scandale culturel ploie sous le poids de ses secrets. Les voir est une excellente affaire. Les discerner, c’est encore mieux ; mais le meilleur, c’est de les partager. C’est l’ambition que se donne ce recueil de poèmes flirtant avec la demoiselle Guinée sur tous les terrains.
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